Julio Iglesias: Le Quichotte du Rêve Américain 13 Février 2009

Julio Iglesias: El Quijote del Sueño Americano 13 de Febrero de 2009
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JULIO IGLESIAS Il chisciotte del sogno Americano 13 Febbraio 2009
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Artculo
Julio Iglesias: Le Quichotte du Rêve Américain

13 Février 2009
Avec 300 millions de disques vendus en 14 langues Julio Iglesias a démontré que sa musique est universelle et possède le pouvoir de faire fondre les coeurs.

Cette semaine, l’image de l’idole qui chante l’amour trône sur les panneaux publicitaires des principales artères de Miami, il est l’étoile du moment à la radio et à la télévision, et une énorme affiche avec son visage décore la façade de l’American Airlines Arena.

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“Miami a été la première ville qui m’a écouté [aux États-Unis] et m’a reçu très affectueusement. Je me sens privilégié d’avoir tant reçu et j’en suis très reconnaissant”, a déclaré le chanteur lors d’un interview téléphonique avec le Diario Las Américas, tandis qu’il prépare son concert de ce samedi, Jour de la Saint Valentin, à 20 heures.

Pour cette soirée consacrée à la romance et aux romantiques, le chanteur a dit qu’il incluera les chansons préférées du public. Depuis “Hey!”, jusqu’à “De niña a mujer”, “Vuela alto”, “Manuela”, “Divorcio”, “Un canto a Galicia”, “Abrázame”, “Me olvidé de vivir”, “Quijote” et “I Want To Know What Love Is”, ces chansons, qui sont les favorites du public, feront certainement partie du programme de la nuit du concert.

Pour beaucoup, ce sera une nuit de retrouvailles avec l’amour et avec l’artiste qui a réussi pendant trois générations à se maintenir en première place, en affichant complet à ses concerts.

Sans doute, Iglesias est l’un de ceux qui croient au Rêve Américain. C’est une célébrité en Europe, mais un nouveau visage aux États-Unis quand il arrive à Miami et frappe aux portes, à une époque où la radio en espagnol commençait à peine à émerger à coup de grands efforts. Grâce à sa largesse de vue, le chanteur espagnol pressentait que les choses changeraient.

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Il commença par louer un petit appartement sur la plage. Mais il ne se passa pas beaucoup de temps avant qu’il ne décide de s’acheter une maison sur l’eau, dans l’exclusif Indian Creek. La maison, qu’il acheta un million et demi de dollars, en vaut aujourd’hui environ 27 millions, et de la même façon que sa carrière, tout ce qui l’entoure semble avoir été touché d’un coup de baguette magique.

“Si je savais quelle baguette magique ça pouvait être, parce que je connais seulement une baguette magique que l’on m’a dit que j’avais… et celle dont la presse parle en exagérant toujours”, dit-il en plaisantant, évitant le sujet de ses habiletés dans le monde des affaires.

Mais le producteur colombien Fernan Martinez, qui a été son publicitaire pendant dix ans et son manager pendant deux ans, dit que “tout ce que Julio fait dans la vie, il arrive à le multiplier par des milliers”. Et ensuite il définit la formule de son succès:

“C’est le style, la personnalité, la mélodie unique de sa voix, l’intelligence, le charme, l’image… C’est lui qui a ouvert le chemin à tous les artistes latins aux États-Unis. Cela fait 30 ans qu’il fait ce que tous les autres veulent faire maintenant”, affirme Martinez.

Il ajoute que, quand il s’agit de la prouesse que représente pénétrer le marché américain, Julio est le numéro un.

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“Julio est arrivé là où personne d’autre n’a pu arriver; il a chanté avec Frank Sinatra, avec Willie Nelson, avec Diana Ross, avec Dolly Parton, avec Stevie Wonder, avec Sting et avec les Beach Boys. C’est le seul artiste qui parle avec des chefs d’état, des princes et des rois, qui a chanté à la Maison Blanche et face aux Pyramides d’Égypte. Il est connu dans n’importe quel pays du monde. Jusqu’à nos jours il n’y a pas d’artiste qui ait pu l’égaler”, ajoute Martinez.

Ses admirateurs restent fidèles au fil des années. À Miami, Remedios Diaz Oliver, l’une des entrepreneuses hispaniques les plus importantes du pays, a suivi sa carrière depuis ses débuts.

“J’ai assisté à son premier concert à Miami, et j’assisterai à son concert de la Fête des Amoureux au Miami Arena, avec un groupe d’amis. Fausto, mon mari, et moi avons été fanatiques de Julio depuis ses débuts. Nous sommes allés le voir à New York , et aussi en Espagne et à Puerto Rico. Avec mes enfants et mes petits-enfants, nous sommes trois générations de fanatiques de Julio”.

La musique arriva dans la vie de l’artiste de manière imprévue, à 20 ans, quand il jouait au football comme gardien de but du Réal Madrid et qu’il souffrit un accident de voiture, qui le laissa trois ans en chaise roulante. Pour qu’il améliorât la mobilité de ses mains, on lui offrit une guitare avec laquelle il commença à composer des chansons. Grâce à l’une de ces chansons, “La vida sigue igual”, il gagna en 1968 le Festival de Benidorm. Sa carrière venait de décoller.

Les journalistes l’admirent parce qu’il est très travailleur, qu’il respecte ses engagements et à cause de sa simplicité. “C’est le seul artiste qui, à travers les années, non seulement te reconnaît, mais qui en plus se souvient des choses qui t’intéressent et qui t’interroge aussi sur tes enfants”, déclara une journaliste.

Parmi ceux qui ont réussi à consolider une amitié avec le chanteur à travers les ans il y a l’animateur de télévision Mauricio Zeilic, qui souligne le côté humain de l’idole espagnole.

“Julio est l’ami de ses amis, pour le meilleur et pour le pire. En outre, même en ayant une telle dimension universelle en tant qu’artiste, il continue d’être un homme noble, qui laisse paraître une modestie qu’il n’a jamais perdu et que l’on ne trouve pas toujours chez les personnages qui réussissent tellement dans la vie. En plus, Julio n’a jamais oublié les choses simples de la vie. J’ose dire que c’est quelqu’un qui a un grand respect pour la vie”, expliqua Zeilic.

Avec une fortune qui atteint des centaines de millions de dollars, on calcule qu’il n’y a que le chanteur Paul McCartney qui le devance par la richesse. Il possède des maisons à Miami, en République Dominicaine et en Espagne et deux avions privés (on lui livre le second le prochain mois de mars), mais il affirme que “ça me fait de la peine de parler de ces choses-là”.

À propos de ses investissements à Punta Cana, en République Dominicaine, avec quatre associés entre lesquels se trouve le styliste Oscar de La Renta, il dit que ce sont pour lui de grands motifs de satisfaction.

“En réalité, mes associés sont des gens sensationnels, et ensemble nous avons réussi à créer un endroit merveilleux pour vivre ou pour passer des vacances, y compris un aéroport. Nous comptons déjà 12.000 travailleurs sur le domaine”, explique-t’il avec enthousiasme.

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“Sa maison à Punta Cana est merveilleuse, c’est comme un espace circulaire d’ambiance thaïlandaise. Elle a une piscine, qui est une circonférence qui entoure complètement la maison, et cinq bungalows à part pour les invités. C’est une maison qui n’a pas de murs conventionnels, mais des planches jointes entre elles qui permettent à l’air de circuler dans toute la maison. C’est une maison très fraîche et qui a partout des ventilateurs genre palmier”, dit María Pía Cassinelli, productrice de la chaîne de divertissement E! Entertainment, qui a visité la maison lors de la promotion de l’album “Divorcio”.

Après son divorce de la philippine Isabel Preysler, mère de ses enfants Chabeli, Julio et Enrique, il connut une longue succession d’amours qui duraient quelques années, quelques mois ou le temps d’une pause entre un concert et l’autre. La presse avait toujours matière à jacasser avec ses idylles, qui comprenaient des reines de beauté, des fans et des célébrités comme Priscilla Presley et Giannina Facio. Pendant des années on a dit qu’il n’avait pas réussi à se remettre de son divorce de Preysler, et quand beaucoup déjà tenaient pour sûr que Julio ne se rangerait jamais, il forma de nouveau un foyer avec Miranda Rijnsburger, la mère de ses cinq plus jeunes enfants : Miguel Alejandro, Rodrigo, Victoria, Cristina et Guillermo, le cadet, âgé d’à peine 21 mois.

“Miranda est une femme exceptionnelle et je sens que j’ai beaucoup de chance. En outre, j’ai cinq enfants avec elle qui sont un trésor et une grande joie, une raison de vivre, ainsi que mes trois enfants plus âgés”, dit-il en signalant qu’il est en train de jouir énormément de cette étape de sa vie.

“J’ai le privilège de bénéficier d’une nouvelle chance, et quand la vie te sourit autant, il faut être très reconnaissant, et je suis une personne reconnaissante; c’est pour cela que je suis très reconnaissant de cette affection que les gens m’ont offert pendant tant d’années”, dit cet artiste qui n’avait jamais imaginé que son futur se trouverait sur la scène.

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“Je dis toujours que je suis avocat, parce que c’est la carrière que j’ai étudié à Madrid. Il ne me manquait qu’un semestre de Droit International pour me diplômer”, dit l’artiste. En 2001, il décida de tenir la promesse qu’il avait faite à son père d’obtenir son diplôme à l’Université Complutense de Madrid. “On m’a posé quelques questions et, à la fin, le professeur m’a dit: ‘Avec tous les contrats que tu as signé et revu partout dans le monde, tu t’y connais plus que quiconque en droit international ’, et il me signa ce qu’il fallait pour recevoir mon diplôme”.

Ses projets pour cette année ne comprennent pas de nouvel album. “Je n’ai pas envie de m’enfermer maintenant dans un studio, je préfère la scène, continuer de travailler, continuer de me sentir vivant, continuer de dire merci, continuer de respirer, continuer de profiter de mes enfants et de mon petit-fils et essayer de comprendre pourquoi la vie m’a récompensé d’une manière tellement généreuse”.

Artculo
Foule au concert de Julio Iglesias à Mar del Plata

1 Mars 2009
Julio Iglesias a offert, le 28 février, un énorme concert de bienfaisance au Paseo Hermitage de Mar del Plata (Argentine), pour 100.000 personnes.

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À cette occasion, le Gouverneur de la province de Buenos Aires, M. Daniel Scioli, a remis à l’artiste le titre d’Hôte d’Honneur.

Le lendemain du concert, le chanteur profita de son séjour dans la ville pour visiter l’exposition “Dali, le surréalisme”, au NH Gran Hotel Provincial, en compagnie de son président, M. Florencio Aldrey.

Julio Iglesias fit délirer 10.000 fans
2 Avril 2009

Canal 13, Chili

Le chanteur espagnol s’est présenté hier soir au Movistar Arena de Santiago du Chili, pour fêter ses 40 ans de carrière.

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Les éloges et les remerciements pour notre pays marquèrent la rencontre de Julio Iglesias avec ses admirateurs chiliens, qui chantèrent en choeur et crièrent pendant les deux heures de show.

„Vous ne savez pas combien je suis heureux de revenir dans un pays qui a été le premier pays que j’ai connu en tant qu’artiste. Vous avez misé sur moi quand j’étais un gamin”, furent quelques unes des paroles de l’artiste, en faisant allusion à sa première présentation au Festival de Viña del Mar, en 1969.

Des chansons comme „Me olvidé de vivir”, „Manuela”, „Abrázame”, „Échame a mí la culpa”, „A media luz” et „Me va, me va”, entre autres, faisaient partie du répertoire de l’espagnol, qui déploya la même passion et la même énergie que lors d’occasions précédentes.

Sur scène, 6 musiciens, 3 choristes et 2 danseurs de tango accompagnèrent cette vaste panoplie de succès – beaucoup d’eux interprétés en anglais – .

Bien qu’il fêtât ses 40 ans de parcours, à ses 65 ans, Julio Iglesias s’amusa à plaisanter de ses „seulement 47 ans”.

Artculo
Julio Iglesias chante à la „Star Academy” arabe

11 Avril 2009

Agence EFE

Le chanteur espagnol Julio Iglesias est intervenu hier soir, à Beyrouth, dans l’émission „Star Academy”, version arabe de la Star Ac, où il a chanté avec les candidats du reality show.

De même, il a donné une conférence de presse, à l’occasion de son concert du 11 avril, au Beirut International Exhibition & Leisure Center.

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Iglesias, qui a interprété deux chansons accompagné de deux participants du concours, a manifesté sa joie d’être au Liban, pays où il s’est produit en plusieurs occasions et où il a des admirateurs entre les différentes générations de libanais.

„Je suis heureux que les libanais aient gardé mes chansons dans leur coeur, et qu’ils les chantent de génération en génération”, affirma l’artiste, qui donnera un concert ce soir à Beyrouth.

Le programme dans lequel est apparu Julio Iglesias a été rediffusé le samedi, 11 avril, par la chaîne de télévision LBC, après son émission par satellite Vendredi Saint.

Cette „Star Academy”, qui fête cette année sa sixième édition, est une émission très populaire qui accueille les amateurs de chant des pays de la région.

Le Musée de la Chaussure d’Elda reçoit les chaussures de Julio Iglesias

25 Mai 2009

Par: Pérez Gil, Journal „Información” (Alicante)
Le Musée de la Chaussure d’Elda continue d’agrandir sa collection „Chaussures chargées Histoire”, qui compte plus de 200 paires.

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Suite à l’incorporation récente des bottes du pilote de Formule 1 Fernando Alonso à cette exposition permanente, le Musée a reçu cette semaine une paire de chaussures, ainsi qu’une photographie dedicacée, données par le chanteur et compositeur espagnol de renommée internationale Julio Iglesias, qui fêtera 40 ans de carrière en 2008. Il s’agit de l’interprète latin ayant vendu le plus de disques dans toute l’histoire de la musique avec plus de 300 millions d’exemplaires à travers le monde entier, ce qui fait que cette pièce acquière une importance spéciale dans une collection qui a plus de quinze ans d’histoire.

La province espagnole de Malaga «adopte» Julio Iglesias
3 Juin 2009

Par: Reuters, El País

Le Conseil régional de Malaga, réuni en assemblée plénière, vient d’approuver à l’unanimité la nomination du chanteur Julio Iglesias comme Fils Adoptif de la Province, en raison des liens qui l’unissent à cette province, étant donné que les municipalités d’Ojén et de Marbella sont ses lieux de résidence depuis des années.

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Le chanteur considère que ce titre est « un des honneurs les plus grands» qui lui aient été rendus au cours de sa vie, qui l’emplit «d’une joie inimaginable». «On vient de me donner une nouvelle de celles qui vous donnent à croire que ce que vous faites en vaut la peine», a déclaré le chanteur, qui a conclu: «Je suis heureux, je le dis clairement: merci Malaga!»

 Julio Iglesias – succès historique à Las Vegas
8 Juin 2009

Par: julioiglesias.com, julioiglesias.com

De retour à Las Vegas après deux années d’absence, Julio Iglesias a recueilli un succès historique.

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Les entrées étaient épuisées depuis deux mois, et les promoteurs des concerts ont autorisé la vente de places debout, ce qui est un cas unique pour les concerts d’un artiste à Las Vegas.

Julio Iglesias remplit de magie El Rocío lors d’un concert de bienfaisance
12 Août 2009

Par: Félix Lorenzo, Las Provincias

« Cette terre d’El Rocío est magique. La magie se retrouve dans l’air, dans l’endroit ». Et la magie a inondé la bourgade d’Almonte (Huelva) lors du concert qui débutait sa « mini tournée » en Espagne et affichait complet. Huit mille spectateurs enthousiastes ont rempli le Rocío Arena, qui était trop petit pour contenir le public venu à ce concert organisé par la Fraternité Matriz de Almonte, au profit d’un orphelinat au Congo. Le chanteur a renoncé à son cachet (300.000 euros) parce « qu’il faut aider comme on le peut ceux qui en ont le plus besoin », a-t-il déclaré.

Julio Iglesias était heureux après ses presque 135 minutes de représentation. Il n’en fallait pas moins. Revêtu de son impeccable costume bleu avec gilet, la mine resplendissante, et voulant toujours en faire plus, il a repris dans l’extase de ses fans inconditionnels, ses principaux succès, comme « La Vida sigue igual », la chanson qui l’a propulsé vers la renommée, à Benidorm, il y a 41 ans, ce qui n’est pas habituel dans ses concerts. Mais Julio Iglesias se sentait épaulé par un auditoire tout à son écoute, un public subjugué, dont il a profité comme rarement. « La magie », ainsi a-t-il dit, lui avait pénétré le corps et le madrilène n’a pas lésiné.

Dans un montage parfait de son et lumière, avec l’accompagnement d’un chœur extraordinaire et la maîtrise de la scène, il a fait se suivre un à un les tubes qui lui ont permis de vendre près de 300 millions d’albums : « La carretera », « Nathalie » « De niña a mujer » « Abrázame », « Manuela », « Hey » … et un vaste répertoire. Il en changeait les refrains, les adaptant à El Rocío, à l’Andalousie, à l’Espagne.

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« L’Andalousie est une terre fantastique, c’est pour cela que j’y vis. Sa force, son influence, se voit et se sent dans les Caraïbes, et c’est ainsi », dit-il. Il a rappelé que ses ancêtres du côté maternel sont originaires de Huelva, et que El Rocío l’avait toujours impressionné, tant comme phénomène social que religieux ; et le public répondait à ses courtes allocutions avec de grandes ovations sonores.

Les applaudissements et les compliments de ses fans se sont transformés en une véritable clameur quand des milliers de personnes ont dansé au son des thèmes caribéens chantés par Julio Iglesias vers une heure et demi du matin, au cours d’une nuit empreinte de magie, qui a débuté un peu avant vingt-trois heures.

Ce fut un événement social majeur, et Julio Iglesias a démontré qu’il est à un moment culminant de sa carrière internationale, la plus récompensée au nombre de chanteurs actuellement en vie.

Ce ne fut pas un concert de plus. Ce fut un « show », un véritable spectacle. Une prestation avant les rendez-vous de Gérone (13 et 14 août) et de Castellon (18), qui s’achèveront à Valence, le 21 août, dans la Plaza de Toros. C’est ainsi qu’il terminera sa tournée nationale avant de reprendre sa tournée mondiale, qui recommencera en septembre avec plusieurs concerts en Israël, pour lesquels toutes les entrées sont épuisées depuis des mois.

Artculo
Valence amoureuse de Julio Iglesias

22 Août 2009

Par: José Eduardo Arenas, ABC

Le chanteur madrilène a conclu ce 21 août, dans la Plaza de Toros de Valence, la partie espagnole de sa tournée de concerts internationaux. Cela faisait huit ans qu’il n’avait pas chanté dans cette ville, et le public a, encore une fois, démontré à l’artiste sa fidélité et son affection en lui rendant un grand hommage
Il n’a fallu que cinq concerts en Espagne, dans le cadre de sa tournée mondiale, pour que Julio Iglesias retrouve les preuves de l’affection que lui rend sa terre, et le courant émotif qui passait entre le public et l’artiste, en connexion directe. D’abord, ce fut à Almonte (Huelva), puis à Cap Roig (Gérone) – deux concerts – ensuite Castellón et hier soir Valence, note finale et preuve majeure de la loyauté envers un battant qui assume allègrement ses quarante années de profession.
Hier soir, dans les arènes valenciennes, endroit fétiche de sa trajectoire, il y eut plus de deux heures de tourbillons caribéens et de paix mélodieuse, dans un crescendo d’arrangements musicaux voluptueux et d’une offre de classiques populaires que se sont partagés Julio Iglesias et un public en grande forme, dansant sur les mélodies, accompagnés de huit musiciens, quatre voix féminines et un couple de danseurs de tango.

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La réponse enthousiaste et populaire ne s’est pas fait attendre. Julio se produit dans un direct impeccable, il n’y a pas une once de routine, chaque spectacle est unique en soi, et il démontre maintenant qu’il communique plus et mieux que jamais.

Julio Iglesias affiche «complet» en Israël
8 Septembre 2009

Par: EFE, La Vanguardia

Le chanteur espagnol Julio Iglesias affiche « sold out » (complet) pour les deux concerts qu’il a prévu de donner en Israël, dès ce soir.
Des sources de la compagnie de production, Tzemah Hafakot, ont déclaré à l’EFE que les entrées pour les deux concerts prévus en Israël à partir de ce soir, étaient épuisées et que plus de 16.000 personnes pourraient voir en direct le chanteur au cours des concerts qui se dérouleront ce soir et jeudi à Tel Aviv.

Les fans du chanteur le plus international d’Espagne ont dû payer entre 400 et 1.000 shekels (soit ente 106 et 266 dollars ou entre 75 et 186 euros) pour occuper l’un des 8.000 fauteuils du Palais des Sports « Nokia », où l’équipe de basket Maccabi de Tel Aviv a l’habitude d’organiser ses rencontres.

Les représentations en Israël font partie de sa tournée internationale actuelle « Julio Iglesias en Concert » qui l’a également menée avec succès dans diverses villes du Moyen-Orient ainsi que du Nord au Sud de l’Amérique.

Au cours de sa tournée mondiale 2009, l’artiste offre dix-sept de ses classiques, parmi lesquels on retrouve Quijote, Me olvidé de vivir, Hey!, Abrázame, Me va, me va, Un canto a Galicia, en plus des chansons représentatives de sa carrière internationale comme Mammy blue, To all the girls I’ve loved before et All of you.

Julio Iglesias s’est rendu en Israël à différentes occasions depuis les débuts des années quatre-vingts quand sa carrière s’est consolidée sur la scène internationale, et l’on se souviendra particulièrement des concerts qu’il a donnés en 1995 à Jérusalem et en 1998 à Césarée et à Tel Aviv.

Julio Iglesias remporte un triomphe en Israël et y rencontre le Président Peres
11 Septembre 2009

Revue ¡Hola!

Profitant de son séjour en Israël, où il a donné deux concerts sensationnels où l’on affichait «complet», Julio Iglesias a rencontré de manière amicale, le Président de l’Etat Israélien, Prix Nobel de la Paix, Shimon Peres.

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L’artiste, qui ne s’était pas rendu dans ce pays depuis onze ans, s’est montré très souriant et heureux pendant cette réunion informelle qui s’est déroulée dans la résidence présidentielle de Monsieur Peres, à Jérusalem.

Julio Iglesias, séducteur en Bolivie, entre élégance et romance
18 Octobre 2009

Journal „El Deber”, Bolivie

C’est par une nuit étoilée, avec une douce brise romantique, que Julio Iglesias a ému et séduit plus de 7.000 personnes, qui se sont rendues à l’Area Concert de Sonilum pour l’écouter.

Il était 22h15 quand la voix du séducteur espagnol a commencé à entonner «Quijote»; les voix des dames présentes criaient son nom en chœur. L’artiste a entrepris d’ensorceler les Boliviens par son élégance et son romantisme.

«Je veux remercier mon public bolivien, pour sa fidélité transmise de parents à enfants, de génération en génération», dit le chanteur éloquent, qui n’a pas arrêté de «converser» avec son auditoire tout au long de la nuit.

Julio Iglesias reçoit l’Escudo Heraldico, la décoration de Santo Domingo (République Dominicaine)
21 Octobre 2009

EFE & Associated Press

L’artiste espagnol Julio Iglesias a reçu aujourd’hui l’“Escudo Heráldico” (Blason Héraldique), la plus haute distinction décernée par la Mairie de Saint-Domingue, qui mit l’accent sur la carrière artistique „fructueuse” et le long parcours de l’interprète.

Le chanteur, qui possède la nationalité dominicaine, a reçu l’“Escudo Heráldico” des mains du maire de Saint-Domingue, Roberto Salcedo, qui a affirmé que Iglesias a fait du pays caraïbéen „un refuge très spécial”.

„Je ne crains pas de me tromper en disant que Julio Iglesias représente l’ambassadeur dominicain le plus important au niveau planétaire”, argumenta le fonctionnaire pendant l’acte qui eut lieu au Palais du conseil municipal de la Ville Coloniale de Saint-Domingue.
Salcedo a assuré que pour son pays „c’était un motif de privilège de savoir que cet homme (Iglesias), qui a visité pour la première fois il y a très longtemps la République Dominicaine, est demeuré dans le coeur et la pensée des dominicains”.

Iglesias, qui réside une bonne partie de l’année à Punta Cana (à l’est de Saint-Domingue), a remercié pour la distinction et s’est déclaré „amoureux” de cette nation qu’il a connu, dit-il, grâce à son père disparu, qui l’aimait aussi.
La République Dominicaine est, à son avis, „un pays absolutament parfait, et même encore à découvrir” qui reçevra des millions de visiteurs pendant les prochaines années.
Le chanteur a assuré qu’il passe de „très bons moments” en République Dominicaine, pays qu’il a connu il y a 40 ans.
„Ici j’ai ma famille, mon monde et mes amis”, a souligné l’interprète des succès „Un canto a Galicia” et „Me olvidé de vivir”.

Julio Iglesias fête ces jours-ci ses 40 ans de musique avec une tournée mondiale qui foulera le sol dominicain les 5 et 7 novembre prochains.

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L’interprète de „33 ans” et „De niña a mujer”, entre autres nombreux succès, a enregistré des chansons en 14 langues et a vendu plus de 300 millions de disques.
On estime qu’il a donné plus de 5.000 concerts dans plus de 600 villes du monde entier.

Julio Iglesias fait chanter avec lui son ami Oscar de la Renta, en République Dominicaine
5 Novembre 2009

EFE

Il y a parfois des surprises lors d’un spectacle, et c’est ce qui est arrivé ce jour à Santo Domingo, quand le chanteur espagnol Julio Iglesias est arrivé à faire monter sur scène le styliste dominicain Oscar de la Renta pour chanter avec lui.

L’artiste espagnol Julio Iglesias s’est présenté pour un concert au Palais des Sports de Santo Domingo, dans le cadre de sa tournée mondiale intitulée «Julio Iglesias en Concert», qui célèbre ses 40 années de carrière artistique.

«Vous ne vous l’imaginez pas, mais il est, de la Finlande à la Chine, l’ambassadeur le plus important de la République Dominicaine, a déclaré l’espagnol devant un public qui attendait de savoir de qui il s’agissait. C’est avec ces mots qu’il a présenté à de la Renta, qui a interprété timidement, devant le rire complice de Julio Iglesias, pour sa façon de chanter, le thème de «To all the girls I’ve loved before».

Ce fut un moment de plus de complicité avec un public agréablement surpris par une prestation au cours de laquelle l’étoile madrilène a chanté également avec l’idole locale en ouverture du concert, Fernando Villalona, la chanson «Quijote». «Je ne peux pas aller en République Dominicaine sans chanter avec Fernando. Il me semble que Fernando et Juan Luis (dit-il en référence à Juan Luis Guerra) sont des maîtres dans l’histoire de la musique de votre pays.»

Dès cet instant l’auditoire a explosé en un délire total, debout à plus de cinq reprises pour remercier le protagoniste de la nuit, par ses applaudissements, cadeau pour une prestation emplie de clins d’oeil pour le pays caribéen, car Julio Iglesias y réside sur la côte est, à Punta Cana, une bonne partie de l’année.

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C’est ce que le chanteur a démontré, deux ans et demi après sa dernière prestation sur les Hauts de Chavon, que, ainsi que le dit le titre de la chanson popularisée par lui, «La vida sigue igual» (la vie continue). En effet, comme aux occasions précédentes, il s’est mis dans la poche les quelques huit mille spectateurs qui remplirent le Palais des Sports de Santo Domingo, la première de ses deux prestations de sa tournée actuelle, sur la scène dominicaine, qui sera suivie d’une autre représentation samedi prochain, dans le complexe Arena del Cibao, à Santiago (Nord).

«C’est un jour à fleur de peau. Lorsque je suis à la maison, je ressens toujours cette petite angoisse. Merci pour tant d’années, tant de tendresse», dit-il à un moment, pour ajouter plus tard que la République Dominicaine «est un pays d’amour».

Revêtu de son costume habituel avec gilet et cravate sombres, l’interprète de «J’ai oublié de vivre» a déclaré que son père lui avait inculqué l’amour pour ce pays antillais, en lui disant qu’ «en République Dominicaine, l’amour n’a pas d’âge». «Je suis tombé amoureux de votre pays, pas en paroles, mais en faits», révéla le chanteur qui a assuré, que bien que né en Espagne, de mère andalouse et de père galicien, il se sent dominicain.

Ce furent plus de deux heures au cours desquelles l’artiste, accompagné de guitare, de basse, de saxophone, de percussion, de clavier et batterie, a offert quelques 35 thèmes.
Parmi lesquels on soulignera «Hey» avec lequel Julio Iglesias, dans une interprétation émouvante, a arraché les applaudissements les plus vibrants d’un public debout.

Julio Iglesias rendit amoureux Miami la nuit de la Saint Valentin

15 Février 2009

Journal „Latin American Herald Tribune”
Le chanteur Julio Iglesias a rendu le public de Miami amoureux, la nuit de la Saint Valentin, avec un concert très spécial, auquel assistèrent presque 20.000 personnes dont sept de ses huit enfants.

„Miami c’est ma vieille ville”, a dit Julio Iglesias lors d’un concert de deux heures marqué par des allusions constantes à sa famille, à sa vie, aux 500 ans de présence espagnole en Floride et à l’importance de la musique latine.

Un des moments les plus émouvants du concert fut quand le chanteur cita les noms de ses sept enfants présents au concert: Isabel et Julio Jr. de son mariage avec Isabel Preysler et les cinq enfants qu’il a eu avec Miranda Rijnsburger: Miguel Alejandro, Rodrigo, Cristina, Victoria et Guillermo.

Le seul de ses fils n’ayant pas assisté au concert était le chanteur populaire Enrique Iglesias, que Julio nomma également, en indiquant qu’il espérait pouvoir compter sur sa présence l’année prochaine.

Julio adressa aussi de tendres mots d’amour à Miranda, qui tint dans ses bras pendant presque tout le concert son fils cadet, Guillermo, qui aura deux ans en mai.

Le chanteur plaisanta et dit qu’on ne sait jamais si les enfants sont à soi, mais qu’il certifiait que tous les siens „sont nés à la maison”.

„En fait, ce qui est important avec les enfants c’est la façon dont tu les aimes et tu les élèves”, ajouta-t’il.

Ensuite, il invita sur l’estrade de l’American Airlines Arena son second fils, Julio Jr., pour chanter ensemble la chanson „To All the Girls I’ ve Loved Before” de Willie Nelson, à la grande joie du public.

Cela faisait quatre ans que Julio Iglesias, qui vit entre ses maisons de Punta Cana (République Dominicaine), Marbella (Espagne) et Miami, quand il ne sillonne pas le monde pour donner une centaine de concerts par an, ne chantait pas dans cette ville, ainsi qu’il le rappela plusieurs fois.

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„Ma place est ici, Miami est ma place”, affirma le chanteur, qui plaisanta en précisant qu’il aime cette ville surtout parce que c’est ici qu’il fait l’amour plus que nulle part ailleurs dans le monde.

Iglesias souligna également l’importance de la présence espagnole en Floride, en allusion à l’anniversaire, en l’an 2013, des 500 ans de l’arrivée de Ponce de Leon aux côtes de cet état qu’il baptisa „La Pascua Florida” (la Pâque fleurie).

„450 ans ont également passé depuis que les espagnols arrivèrent à Pensacola et à San Agustin. La magie de mon pays se projetait sur tant de choses qu’on peut dire aujourd’hui que nous, les latins, étions déjà ici ça fait 500 ans, mais nous avons été tellement bêtes que nous ne sommes pas restés”, affirma-t’il.

Les Rois d’Espagne, Juan Carlos et Sofia, commémoreront précisément le prochain jeudi le 450ème anniversaire de l’établissement de la première colonie européenne et espagnole dans la ville de Pensacola (nord-ouest de Floride), réalisé par Tristan de Luna, en 1559.

Les Rois d’Espagne voyageront également à Miami, pour assister à un dîner le 19 au soir, en hommage à la gastronomie espagnole, dîner auquel Julio Iglesias et Miranda sont aussi invités .

Julio Iglesias signala que n’importe lequel de ces espagnols-là aurait composé il y a 500 ans la mélodie qu’il chanta par la suite: „De niña a mujer”, qu’il composa pour sa fille aînée, Isabel, connue aussi comme Chabeli.

Pendant le concert, Julio Iglesias chanta une partie de son vaste répertoire en espagnol, en anglais, en français, en italien et en portugais.

Il rendit hommage à la musique latine avec diverses chansons, nomma la Colombie, le Mexique et Cuba, entre autres pays et, surtout, il souligna qu’il „n’y a pas de meilleure musique que le tango”, tandis qu’un couple dansait.

Il interpréta des chansons comme „Quijote”, „Nathalie”, „Manuela”, „Un canto a Galicia”, „Échame a mí la culpa”, „Me olvidé de vivir”, „Soy un truhán, soy un señor” et „La vida sigue igual”, entre autres.

Finalement il s’agenouilla, baisa le sol de l’estrade et répéta „merci, merci beaucoup”, à tout son public debout.