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Julio Iglesias a séduit une nouvelle fois Panama avec ses succès inoubliables

7 Février 2014

Par: Otilia Ríos, Diario La Estrella
Julio Iglesias a rendu la soirée du 5 février spéciale pour Panama. La brise d’été chaude et douce a été complice du public pour une rencontre romantique et spéciale avec le chanteur qui, avec ses plus de 45 ans de vie artistique, s’est livré aux spectateurs, qui sont venus prêts à chanter avec lui ses thèmes inoubliables.

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L’artiste espagnol a commencé avec l’emblématique Amor, amor, amor qui aura suffi pour que ses fans soient prêts à revivre ses moments les plus magnifiques. Ont suivi des succès comme La gota fría, Échame a mí la culpa, A media luz, Me olvidé de vivir, des tangos et un séduisant Mammy Blue et Careless Whisper avec lesquelles il a enchanté parce qu’il a chanté aussi en français et en anglais.

C’est l’amour et les nombreux souvenirs qui amènent ses fans dans le monde entier à reprendre en chœur les chansons de Julio Iglesias.

CONFESSIONS

Le chanteur, deux fois lauréat du Guiness Record pour la plus grande vente de disques dans le plus de langues dans le monde et dans l’histoire a ‘confessé’ à son public qu’il ne faut pas croire tout ce que l’on dit de lui, même si parfois cela pourrait être vrai. Il n’y a que 5% de vérité, sa vérité, qui lui appartient comme un secret qu’il garde au fond de lui-même.

Il a aussi fait étalage de sa bonne humeur et de son talent de grand séducteur. ‘J’aime le Panama, je le connais.’ En outre, il a osé faire une demande spéciale, comme celle que l’on fait seulement aux personnes qui s’aiment : ‘Prenez soin de moi’, que son fidèle public s’est engagé à répondre avec des applaudissements et des cris d’affection.

On ne peut pas nier que Julio Iglesias est venu se livrer sur la scène, il a susurré des phrases de ses chansons d’amour, il a parlé de moments de bonheur. Maintenant, ‘je vis plus pour vous. . . vous m’avez donné tant de temps’, a-t-il répété à son public parmi lequel se trouvaient des couples de plusieurs générations.

Artculo

Un Julio Iglesias à l’état pur triomphe pour son retour chez lui, à Miami

23 Février 2014

Par: Emilio J. López, EFE
Une standing ovation, des cris et des compliments de toutes sortes résument le dévouement du public à Julio Iglesias lors de son retour sur les scènes de Miami (États-Unis), où il a triomphé samedi soir avec des chansons éternelles servies par un son très soigné.

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Le chanteur garde à soixante-dix ans cet aspect d’artiste premier de sa classe, qui sait que le succès repose sur le dépouillement de toute théâtralité de la relation avec son public et sur un objectif unique : exercer la fascination.
S’en remettant à ce style et cette inspiration qui lui sont si propres sur la scène, où une banquette où s’appuyer sur de merveilleuses chansons comme Caruso ou El amor et le phrasé de sa voix suffisent, il a laissé libre cours à des anecdotes et à des commentaires amusants qui ont été reçus avec des rires de complicité par l’auditoire.

„On me demande si souvent ce qu’un artiste aime le plus. Ce que nous aimons le plus, c’est revenir. Être à Miami est pour moi un privilège, ça l’est aussi le fait que vous continuiez à m’aimer”, a dit le chanteur espagnol le plus universel en guise de présentation au public qui remplissait l’American Airlines Arena et fredonnait infatigable les paroles des chansons.

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Lors de l’arrêt à Miami dans le cadre de son intense tournée mondiale, Julio Iglesias a interprété des chansons comme Manuela, Me olvidé de vivir, Un canto a Galicia ou Abrázame, qui font partie du tissu sentimental de plusieurs générations et il a touché, avec sa voix expressive, parfois susurrée, d’autres fois viscérale, les fibres les plus sensibles du public.

„Si je n’avais plus la passion que vous me donnez, je serais dans un cabinet d’avocats”, a glissé l’artiste avant d’interpréter Hey, que le public a chanté du début à la fin, ce qui a constitué l’apogée d’une soirée qui a duré plus de deux heures et au cours de laquelle il a interprété une trentaine de chansons.
Il a eu des mots câlins très émouvants pour sa femme, Miranda, présente avec leurs cinq enfants, et à laquelle il a dédié la chanson Ne me quitte pas, du chanteur français Jacques Brel, „le plus grand poète de l’histoire de la musique pop”, a-t-il dit.

„Après vous, celle que j’ai le plus aimé dans ma vie, c’est ma femme. Elle s’est convertie en un vent merveilleux et c’est pourquoi je veux lui dédier cette chanson”, a signalé le chanteur avec des mots qui ont déclenché les applaudissements et les commentaires émus dans le public.

De niña a mujer et La carretera ont précédé Quijote, une des chansons les plus applaudies de la soirée dans l’enceinte, où il a démontré que ni les plus de 300 millions de disques vendus ni le voyage infini de pays en pays en chantant n’ont diminué sa capacité à captiver, son énergie débordante et son engagement inébranlable avec son public.

Après avoir interprété A media luz, accompagné sur scène par l’extraordinaire couple de danseurs de tango qui sont avec l’artiste depuis des années dans ses tournées, Julio Iglesias a plaisanté avec les spectateurs : „Ce soir, quand vous retournerez chez vous, si vous êtes capables de danser le tango comme Soledad et Hernán, demain vous allez au gynécologue”.

Auparavant, avec son habituelle sympathie, il a demandé en plusieurs langues les différentes nationalités réunies dans l’auditoire, pour relever, avec beaucoup de charme, „je ne savais pas que ce soir je chantais aux Nations Unies”.

Il convient de signaler lors de ce concert le déploiement de lumières, les effets d’images sur le fond de la scène accompagnant chaque chanson et un son impeccable.

Fidèle à ses signes d’identité, levant les poings en l’air, il a pris congé du public de Miami qui, debout, absolument conquis, applaudissait et fredonnait la chanson Me va, me va, un point final pléthorique au concert.

Il a dû retourner sur scène devant les applaudissements interminables et les cris scandant „une autre, une autre !, „Julio, ne t’en vas pas !” du public pour interpréter avec une énergie admirable, un bis après l’autre.

Artculo
JULIO IGLESIAS, LE PLUS GRAND ARTISTE LATIN DE TOUS LES TEMPS

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12 Mai 2014
Londres, 12 mai 2014: L’un des 10 premiers artistes ayant vendu le plus de disques au monde, Julio Iglesias, a reçu aujourd’hui une récompense unique de Sony Music: Le plus grand artiste latin de tous les temps, lors d’une conférence de presse qui a convoqué les médias internationaux et qui a eu lieu à l’Hôtel Dorchester de Londres.

Artculo
Julio Iglesias conquiert les Londoniens

15 Mai 2014

Par: Luis Domínguez, Diario AM
Grâce à son ample répertoire musical sur scène et le romantisme qui le caractérise, le chanteur espagnol Julio Iglesias a enchanté les cinq mille fans qui se sont rendez-vous ce soir au Royal Albert Hall de Londres.

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Accompagné de six musiciens et de trois choristes, l’interprète a commencé la soirée avec Amor, Amor, Amor et La Gota Fría, après avoir remercié l’auditoire pléthorique pour sa chaleureuse réception.

„Bonsoir, mes amis de Londres, merci pour toutes ces années de dévouement et d’amour”, a dit l’interprète avant de continuer avec Échame a Mí la Culpa et Me Olvidé de Vivir, qui fut une des chansons les plus applaudies de la soirée.

Une lumière feutrée et blanche a éclairé la scène sur laquelle le chanteur espagnol a démontré la diversité musicale de son répertoire.

Il a chanté deux titres de son disque Tango, une réussite, puis il a enchaîné avec un classique de la chanson française, Mamy Blue. Ensuite, il a rendu hommage à la musique italienne avec Caruso, avant de terminer le set avec un peu de musique cubaine, dont il a confié être très amoureux.

L’interprète de La Carretera a continué la soirée avec un peu de romantisme, accompagné d’un jeu de lumières feutrées et en chantant des standards du jazz et du pop comme Careless Whisper, Crazy et Drive.

Les compliments d’une partie du public ont continué toute la soirée et certains des fans jetaient même des fleurs ou des petits drapeaux espagnols sur la scène.

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„Vous m’avez tout donné et je tiens à vous remercier, sans vous je ne serais pas là”, a déclaré l’interprète, qui a ensuite chanté un pot-pourri de ses succès Abrázame et Hey!

Sur le rythme contagieux de Me va, Me va, Iglesias a pris congé du public qui n’arrêtait pas de danser après une heure et demie d’ovations et d’applaudissements continus.

Artculo
Julio Iglesias, le plus grand artiste latin de tous les temps

21 Mai 2014

Europa Press
S’il y a quelque chose de clair dans le monde de la musique, c’est que le succès est éphémère, mais le talent démontrable. Et c’est ce qu’a fait le célèbre chanteur Julio Iglesias, démontrer que chanter pendant un demi-siècle sur les scènes du monde entier est possible. Julio Iglesias a reçu à Londres le prix de plus grand artiste latin de tous les temps. Même s’il est vrai que parvenir à obtenir autant de succès à travers la musique et cela dans quatorze langues différentes est quelque chose à la portée de très peu d’artistes, rien ne résiste à Julio Iglesias. À 70 ans, et après plus d’une décennie, le chanteur espagnol le chanteur espagnol est monté sur la scène d’un des théâtres les plus prestigieux du monde, le mythique Royal Albert Hall, pour démontrer une fois de plus son talent inné, en ce qui concerne la musique.

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Lors de la soirée du 19 mai dernier, le chanteur a enchanté les spectateurs en interprétant quelques-unes de ses chansons les plus emblématiques, accompagné du gaitero (joueur de cornemuse) galicien Carlos Núñez. Mais bien que l’Espagnol le plus international de tous les temps revienne dans la capitale britannique pour nous offrir à tous deux concerts et pour recevoir la récompense qui fait de lui le plus grand artiste latin du monde entier, son humilité l’empêche de se considérer comme tel, et cette modestie est digne d’admiration.
Bien qu’il ait vendu plus de 300 millions de disques et que toutes les 30 secondes, une de ses chansons passe à la radio quelque part sur la Terre, Julio Iglesias pensé ne pas être le meilleur. “Je ne me considère pas comme le plus grand artiste latin de l’histoire, parce que je pensé qu’il y a beaucoup d’autres artistes qui représentent la musique bien mieux que moi”, expliquait-il.

En outre, il a voulu laisser bien clair que ceux qui font qu’un artiste est grand, ce sont tous ses fans, et il a souhaité remercier vivement tous les gens qui l’ont soutenu durant sa carrière professionnelle, en ajoutant que ce sont eux qui méritent vraiment de recevoir un prix : “Vous me faites sentir vivant. Le vent de vos mots est comme mon oxygène, ne me laissez pas mourir”.

Deux étoiles brillent ensemble

6 Août 2014

Par: Eneas G. Ferri, Diario La Verdad
Julio Iglesias a affiché complet dans les Jardins de Abril lors d’un concert intime auquel le tennisman Rafael Nadal a assisté.

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Il est toujours un des artistes les plus attendus. Julio Iglesias, le chanteur latin ayant vendu le plus de disques dans l’histoire, a offert hier un concert dans les Jardins de Abril de San Juan de Alicante. Pour un grand nombre des plus de mille privilégiés qui ont épuisé les billets miss en vente, il a offert le concert de sa vie.

L’événement a eu une autre étoile, d’un autre domaine, le sport. Le tennisman Rafael Nadal s’est rendu à Alicante pour assister au concert.
Romantique, versatile, mais surtout intime, Julio Iglesias a fasciné trois générations.

Dès son apparition sur scène, les applaudissements ont commencé avec force, pour ne plus retomber durant tout le concert.

Il s’est adressé au public, déclarant «garder un joli souvenir d’Alicante parce que c’est là que tout a commencé», en référence au Festival de Benidorm, où il s’est fait connaître quand il a gagné le grand prix avec sa chanson mythique La vida sigue igual. Il n’a pas pu résister et a salué Rafa Nadal, en déclarant «tous les Espagnols, nous sommes fiers de toi».

Après quelques chansons connues qui furent saluées par de forts applaudissements par le public présent, de nombreux spectateurs et surtout spectatrices n’ont pas hésité à lui lancer quelques cadeaux sur la scène que l’artiste a ramassés en les remerciant de leurs gestes.

Des chansons comme La gota fría, Un canto a Galicia, Échame a mí la culpa, ‘Me olvidé de vivir ou La vida sigue igual ont été parmi les plus acclamées de la soirée, bien que le moment probablement le plus apprécié par le public ait été un pot-pourri reprenant les refrains de quelques-unes de ses chansons les plus connues, entre autres Abrázame et Hey !

La troupe complète de musiciens, danseurs et surtout le grand travail de l’équipe de scénographie ont fait en sorte que la lumière et le son soient en harmonie à chaque changement de ton du répertoire, au cours duquel Iglesias a pu réviser tous les styles de la longue discographie qu’il a offert à son public dans tous les coins de la planète.

L’un sur scène, montrant pourquoi cela fait plus de quarante ans qu’il est dans la musique, et l’autre sur son fauteuil, applaudissant à tout rompre comme les 1200 assistants au concert.

Deux étoiles ont brillé hier à Alicante.
Julio Iglesias donne ses lettres de noblesse au Starlite Festival de Marbella

14 Août 2014

Par: Pedro Luis Gómez, Diario Sur
Un concert très personnel. Un auditorium plein à craquer. Julio Iglesias est arrivé, a chanté et a fait un triomphe dans un Starlite Festival qui ne serait pas ce qu’il est sans le grand chanteur espagnol, qui a séduit tout le monde avec ses chansons, mais aussi sa façon d’être et de comprendre la vie. Ce fut une soirée merveilleuse pour ceux qui ont eu la chance de pouvoir obtenir un billet, parce que depuis un mois, il n’y avait plus une seule place de libre. Julio est le seul artiste du Festival de Marbella qui a chanté durant toutes ses éditions et qui a réussi à épuiser les entrées lors de chacune d’entre elles. Un phénomène. C’est le mot qui convient, ni plus ni moins.

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L’attente était énorme. Arrivait Julio, le seul à avoir réussi lors de toutes ses apparitions à la Cantera de Nagüeles à épuiser les entrées. Deux heures avant, il y avait déjà des queues de voitures et de personnes près de l’Auditorium de Marbella, rarement aussi majestueux. Tout un monde de personnalités pour voir le plus grand, le meilleur artiste latin de tous les temps, le seul chanteur vivant ayant réussi à vendre presque 400 millions de disques, et qui à 70 ans, continue à parcourir le monde et à déchaîner les passions, parce que c’est ce que fait Julio Iglesias, un mythe, une légende vivante. Un grand homme et un artiste exceptionnel.

Julio a profité de l’occasion pour revendiquer son talent. Et il l’a fait comme les grands : avec ses chansons. Grâce à sa maîtrise de la scène, à sa complicité avec le public, un public conquis et ‘à lui’ qui a vibré du début à la fin lors d’un concert qui a eu de nombreux moments intimes et qui a duré deux heures, avec les chansons qui ont fait la gloire leur auteur, comme Amor, amor, La gota fría, Un canto a Galicia, Manuela, Quijote, Crazy, Manuela, De niña a mujer, entre autres, parmi les 30 thèmes qu’il a interprétés devant son public délirant et en pleine jubilation, plus spécial que jamais, parce que sur scène, il y avait Julio Iglesias, le plus grand artiste latin de tous les temps.

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Il a rempli Nagüeles, a fait un triomphe, comme toujours, et a démontré que le Starlite Festival ne serait pas ce qu’il est, indéniablement, sans sa présence magique. Dans le public, heureux, Miranda et ses enfants. Son filleul. Son frère. Sa famille. Ses gens. Une autre soirée inoubliable.